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il y a 8 ans
Plombier-chauffagiste, Charles réalise des interventions au quotidien en installation et en dépannage chez les particuliers. A la suite d'un accident de moto, il avait dû porter des couches pendant quelques mois, puis il y avait tellement pris goût qu'il en était devenu DL. Il portait des couches quotidiennement. Non pas qu'il en ait eu réellement besoin, mais le plaisir d'être langé avait vite fait place au confort et à la praticité de ne pas toujours avoir accès aux toilettes sur les chantiers ou même la gêne de demander les WC chez les clients où il ne passait parfois qu'une heure, le temps du dépannage.
Quatorze heure trente, début du mois de juillet, Charles gara le camion devant l'adresse de sa cliente suivante. Il venait pour un dépannage comme il en faisait de nombreux par jour ; un évier qui fuyait. Il sortit sa trousse à outil de la camionnette, apposa le ticket d'horodateur sur le tableau de bord, puis après avoir verrouillé son véhicule, sonna au nom indiqué sur son calepin. C'était une grosse maison bourgeoise du 19ème, en pan de bois, comme il en existe des centaines dans sa ville, découpé en 4 appartements. L'interphone crépita, et une douce voix féminine lui répondit :
-
Oui ?
-
Bonjour madame, c'est le plombier pour votre évier.
-
Je vous ouvre, c'est au second, porte de droite.
Il monta les marches deux à deux, puis vint frapper à la porte. Une très jolie jeune femme dans la petite trentaine lui ouvrit. Mince, taille moyenne, cheveux mi-longs châtain, vêtue d'un caleçon beige et d'un petit top blanc, elle était exactement le type de femme qu'il appréciait, mais il se garda bien de faire un commentaire. Il se contenta de la saluer, et de lui demander où était la cuisine pour qu'il puisse commencer son dépannage. Celle-ci l'invita à la suivre et lui fit traverser un couloir qui débouchait sur la cuisine. Toujours très sensible au charme féminin, en la suivant, il inspecta de ses yeux bleus aciers les fesses de sa cliente, d'abord pour le plaisir d'admirer sa splendide chute de rein, et ensuite en tant que bon DL qui se respecte, vérifier si il pouvait deviner une éventuelle couche ou serviette. Il savait bien qu'il existait une chance sur des milliers pour qu'elle soit elle aussi abdl, mais c'était devenu une sorte de tic de regarder systématiquement le derrière des femmes qu'il rencontrait, de façon discrète. Chou blanc pour cette fois-ci, les fesses de la belle semblait vierge de tout carré de ouate.
Elle ouvrit les deux portes du placard sous l'évier, en expliquant qu'elle ne pouvait plus l'utiliser, car à chaque sous--tirage d'eau, le liquide se répandait immanquablement dessous. Charles, posa sa trousse à outils à ses pieds, en sortit ses genouillères qu'il posa au sol, puis s'agenouilla dessus et glissa la tête dans le placard pour inspecter l'évacuation de l'évier. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que le tube de pvc était fendu et laissait fuir l'eau à chaque passage.
-
Rien de grave madame, le tuyau et le siphon sont simplement à remplacer, il y a environ 1 heure de travail.
-
Mais quand pouvez-vous revenir réparer ?
-
Tout de suite si vous le souhaitez, j'ai tout ce qu'il faut dans le camion.
-
Formidable, je vous laisse faire. Mais vous pouvez m'appelez Jeanne, je préfère ça que ''Madame '' ! Souhaitez-vous un rafraichissement par cette chaleur ?
-
Avec plaisir, dit-il, moi c'est Charles, renchérit-il avec aplomb. C'est très joli comme prénom Jeanne, ajouta-t-il.
-
Merci. J'ai du café, du jus d'orange, du soda ou une menthe à l'eau ?
-
Va pour une menthe à l'eau. Je descends chercher ce qu'il me faut, puis je vous répare ça.
Il lui fallut moins de cinq minutes pour remonter avec la colle, un siphon et du pvc de quarante. Il but sa menthe d'un trait tant la chaleur était étouffante, puis se mit à démonter l'ensemble, et le remplaça. Concentré dans son travail et penché sous l'évier presque à quatre pattes, il ne s'était pas rendu compte que son polo était sorti de son pantalon et qu'à chaque mouvement, bras tirés en avant, il laissait découvrir l'arrière de sa Tena maxi qui ressortait légèrement de son pantalon. Jeanne, elle, en revanche, s'en était parfaitement aperçu. Elle ne put s'empêcher de lui dire dans son dos :
- Très mignon la couche qui dépasse !
A ces mots, il se redressa brusquement, se cogna, et rouge de honte renfila son polo dans son pantalon, sous l'air amusé de Jeanne.
-
N'ayez pas honte - dit-elle, je vous assure que c'est très mignon de voir un aussi bel homme que vous, porter une couche ! Cela a quelque chose d'original mais de troublant en même temps : On a envie d'en savoir plus dit-elle, d'un air malicieux.
-
Et bien, je suis ravi que vous le preniez de cette façon, certaines personnes ne seraient pas aussi à l'aise dans cette situation...
-
Disons que comme cela, vous n'aurez pas à emprunter mes toilettes, dit-elle amusée.
-
Vous êtes malade ? Demanda-t-elle plus grave.
-
Non, j'ai dû porter des couches à la suite d'un accident de moto au début des années deux mille, mais ensuite, bien que n'en ayant plus besoin, j'y ai pris goût et trouvé mon intérêt d'un point de vue purement pratique, en plus, c'est très confortable.
-
Ah, tiens, je n'y avais jamais pensé : Moi qui ai une petite vessie et qui suis toujours à la recherche des toilettes les plus proches, il faudra que j'y songe assura-t-elle à la fois sérieuse et amusée.
Pendant ce dialogue qui semblait surréaliste à Charles mais inespéré, ses yeux avaient croisé ceux de Jeanne, et il avait bien ressenti ce petit quelque-chose que l'on détecte parfois, lorsque entre deux personnes, un lien, même infime se tisse. Il était célibataire, elle n'avait pas d'alliance, alors il prêcha le faux pour savoir le vrai : - Votre mari sera satisfait du travail je pense, l'écoulement est impeccable.
- Mais je ne suis pas marié, rétorqua-t-elle - Je voulais dire votre ami, insista-t-il - Non plus, dit-elle, je vis seule.
Ne rajoutant rien, mais content de lui, il lui expliqua qu'il allait ranger son matériel dans le camion puis remonterait ensuite pour établir la facture. Celle-ci acquiesça et le laissa débarrasser ses outils.
En rangeant son matériel dans sa camionnette, il ne pouvait s'empêcher de penser à ce qui venait de se passer. Cela faisait longtemps qu'il savait qu'un jour ou l'autre quelqu'un découvrirait son secret, et même si il ne craignait pas ce sentiment mêlé de honte et de plaisir, il se disait que c'était une entrée en matière curieuse pour essayer de séduire cette femme. Elle était superbe, belle, élégante, racée. Bref, il était sous le charme. Bien qu'un peu plus vieux qu'elle, il en avait trente-neuf et elle semblait plus proche des trente. Charles était suffisamment intelligent pour savoir qu'il ne laissait pas la gente féminine indifférente, et que son charisme naturel venait en grande partie de son éducation, qui lui permettait de s'exprimer de façon claire et avec assurance. Son physique avantageux de beau brun ténébreux lui avait fait noter depuis longtemps que cela rassurait les femmes et les charmait souvent. Mais tout de même, que pouvait-elle bien penser d'un artisan plombier qui la courtisait en portant des couches ?
Il se saisit de son carnet de facturation, puis remonta au second après avoir pris une grande inspiration. Il s'installa sur la table de la cuisine, rédigea la facture et lui tendit. Elle lui fit aussitôt un chèque qu'il rangea dans son carnet. Il la regarda dans les yeux en lui tendant la main pour prendre congés, et sentant que lui comme elle, ne semblait pas savoir quoi dire à l'autre, il prit la parole :
-
Excusez mon impolitesse, mais je vous trouve si attirante, que j'aimerai vous revoir.
-
J'aimerai aussi, dit-elle avec une pointe de rose qui naissait sur ses joues, ce qui ne la rendait que plus désirable.
-
Et bien, commençons déjà par nous tutoyer et laissez-moi vous inviter à diner, ce soir ?
-
Avec grand plaisir !
-
J'ai encore trois dépannages à faire cet aprèsmidi, puis je passerai te prendre vers vingt heures ?
-
C'est parfait ! Mais dis-moi, elle laissa un instant de silence puis reprit, ce soir, tu viendras en couche ? demanda-t-elle rieuse.
Coincé, il se demandait qu'elle était la meilleure réponse pour ne pas la mettre mal à l'aise dès le premier soir.
-
Et bien, je ferais comme tu préfères...
-
La couche m'a bien plu ! dit-elle sans rien rajouter de plus mais tout en souriant.
-
J'ai compris, reprit-il, je viendrais donc avec une couche sur les fesses !
-
Alors à ce soir, dit Jeanne tout sourire.
-
A ce soir, dit-il.
Il l'embrassa sur la joue, puis passa devant Jeanne en quittant la cuisine. Celle-ci ne put s'empêcher de lui mettre deux petites tapes sur ses fesses rembourrées, avec un air amusé et malicieux.
Chapitre 2
Rentré chez lui vers dix-huit heures, Charles fonça dans la salle de bain et ôta sa couche qui était sur le point de fuir après une journée bien remplie. Il se glissa sous la douche, salvatrice après cette chaude journée de juillet. Après s'être séché, il se parfuma, enfila une nouvelle Tena puis un shorty par-dessus. Il se contempla devant la glace, en se demandant quelle réaction pourrait bien avoir Jeanne s'ils devaient aller plus loin. Surtout, il s'interrogeait sur le sens que pouvait donner une aussi séduisante jeune femme à un homme qui portait des couches et tentait de la séduire. Il chassa cette idée de son esprit en se disant qu'il verrait bien. Il choisit un jean propre et une chemisette en lin blanc, se passa du gel dans ses cheveux, les mit en place puis quitta la salle de bains. Il releva ensuite ses mails rapidement, puis après avoir pris une bouteille de champagne dans la cave et l'avoir enfourné dans son sac, sauta dans sa voiture en prenant la direction du fleuriste, il était dix-neuf heures quinze. Il choisit un bouquet de fleurs coupées du plus bel effet, le régla et pris la direction de la rue Béssard, où habitait, l'espérait-il, sa future conquête. Il se gara rapidement devant l'immeuble, et vint sonner à la porte.
Dix-neuf heures et trente sept minutes à sa montre - pile dans les temps - pensa-t-il. Elle lui ouvrit, puis il monta au second. Elle était là, sur le pas de sa porte, radieuse, toujours souriante. Elle était vêtue d'un pantalon en lin écru, qui lui donnait un air aérien. Un chemisier gris chiné en coton lui cintrait la taille, et moulait sa poitrine.
- Tu es magnifique, dit-il - Merci Charles, mais tu n'es pas en reste non plus.
Il lui tendit le bouquet de fleur, sûr de son effet. Elles sont superbes dit-elle, en les portant à son nez. Elle rentra dans son appartement en l'invitant à le suivre, le temps qu'elle les dépose dans un vase. Il se trouvait dans le salon, qui était meublé avec goût, de façon sobre mais actuelle. Des clips vidéos défilaient sur l'écran plat et donnaient une ambiance musicale et enjouée dans l'appartement. Après avoir disposé les fleurs sur la table basse, elle lui proposa de prendre l'apéritif chez elle, puis de se rendre au restaurant ensuite. Il lui tendit la bouteille qu'il sortit de son sac à dos en lui expliquant qu'elle était encore fraîche.
- Décidemment, tu penses à tout ! Je vais chercher deux coupes dans la cuisine, installes-toi, j'arrive.
En passant derrière-lui pour se rendre à la cuisine, elle tapota subrepticement son derrière.
-
Je vois que tu as respecté ma consigne - dit-elle presque surprise.
-
Cela semblait te faire plaisir, alors oui, j'ai mis une couche pour ce soir dit-il un peu décontenancé.
-
C'est définitivement trop mignon - ajouta-t-elle amusée, tout en se dirigeant vers la cuisine.
Assis sur le canapé, après avoir ouvert la bouteille, Charles servit le champagne rosé dans les coupes. Ils conversèrent sur leur vie respective. Il apprit ainsi qu'elle était coiffeuse dans un des plus grands salons de la ville, qu'elle avait 28 ans, célibataire depuis un an et demi et aspirait à rencontrer quelqu'un de sérieux et stable. Lui, était divorcé, deux e n f a n t s ados, et cherchait aussi une compagne douce et gentille, qui accepterait son fétichisme des couches. Mais pour cette dernière partie, il ne lui avoua pas tout de suite.
La première bouteille vidée, Jeanne alla en chercher une autre dans son frigidaire. Il faut dire que dans leur département, la production de ce nectar était une des principales activités économiques, alors le champagne était considéré comme l'apéritif local, et tout le monde avait f o r c é ment plusieurs bouteilles au frais en permanence, et habitué à en boire au moins une fois par semaine.
Le temps passant, et après la cinquième coupe, alors que Jeanne était déjà allé deux fois aux toilettes soulager sa vessie, Charles ressentit le besoin de vider lui-aussi la sienne. C'est là qu'il comprit que le choix était compliqué ; ou il satisfaisait à un besoin naturel en remplissant sa couche et pensait que ce n'était pas la meilleure idée en présence de Jeanne, ou alors il se retenait, quitte à avoir de sérieuses douleurs au bas-ventre. Après réflexion, il se dit que si elle lui avait demandé de mettre une couche ce soir, elle devait bien se douter qu'il allait l'utiliser à un moment ou à un autre. Il se laissa donc aller, savourant le délestage de sa vessie dans la couche. Au fur et à mesure que la Tena se remplissait, il ressentait le bien-être, grandissant proportionnellement au remplissage de sa couche, qui lui semblait interminable. Se ressaisissant, il lui demanda :
-
J'ai une question un peu particulière à te demander Jeanne- - Aucun problème dit-elle, il n'y a pas d'indiscrétion - - Et bien voilà, surtout, je te demande de ne pas le prendre mal, mais je suis surpris qu'une fille qui semble aussi équilibrée et moderne que toi, ne se soit pas plus étonnée que cela, sur le fait que je porte des couches, alors que tu sais maintenant que je n'en ai pas vraiment besoin ?
-
En fait, dit-elle, un secret en vaut un autre, elle marqua une pause et repris : j'ai été énurétique jusqu'à mes 16 ans la nuit, et j'ai dû porter des couches aussi jusqu'à cette âge-là. J'en ai beaucoup souffert, à cause des moqueries à la maison de mes frères et soeurs et même de mes parents. Dans le même moment, j'ai aussi fini par apprécier de porter ces couches, que j'ai longtemps maudit, puis finalement accepté. Je me souviens de façon extrêmement précise, le réconfort qu'elles m'apportaient, cette sécurité et ce sentiment de sérénité et d'apaisement qu'elles me donnaient.
Ébahie et rempli de joie par la réponse apportée par Jeanne, Charles se prit à rêver d'avoir trouvé celle qu'il attendait depuis toujours, qui saurait le comprendre, ne le jugerait pas, et peut-être même participerait à son fétichisme.
-
Lorsque j'ai aperçu le haut de ta couche quand tu réparais mon évier, j'ai repensé immédiatement à ces seize années, où je ne pouvais aller au lit le soir, sans passer par la case '' couche '' et le moment où je me réveillais chaque matin mouillée. J'ai repensé à tous les plaisirs qu'elles m'ont apportés avec mes premiers émois sexuels solitaires. Tout en disant cela, Jeanne rougissait et semblait se libérer dans ces aveux qu'elle n'avait sans doute jamais confiés à personne.
-
Excuses-moi, reprit-elle, je te raconte des choses très intimes qui ne doivent pas beaucoup t'intéresser...
-
Détrompes-toi - reprit aussitôt Charles : Je suis terriblement flatté que tu te livres à moi de cette façon : Me faire partager ton intimité est tout simplement courageux et même merveilleux, alors que tu ne me connais à peine ! - Oui, c'est curieux, mais je me sens en confiance avec toi, et j'ai l'impression que je peux tout te dire.
A ce moment, un silence se fit, alors Charles se rapprocha de Jeanne, lui saisit la main et approcha son visage du sien. Ses yeux bleus plongèrent dans son regard, ses lèvres effleurèrent les siennes, puis entrèrent en contact plus franchement. Elle lui répondit en ouvrant sa bouche, puis s'ensuivit un long et langoureux baiser. Elle posa sa main sur sa nuque, caressa les cheveux de Charles, lâcha son autre main et l'enlaça. Il déposa délicatement une main sur sa joue, tout en continuant de l'embrasser avec douceur. Il passa son autre main derrière son dos et la resserra contre lui. Ils restèrent comme suspendus dans le temps un long instant, puis se regardèrent, en souriant, emplis de joie et de bien-être. Charles consulta sa montre :
- Neuf heures trente, Il est un peu tard pour aller diner en ville, dit-il - Restons-là, l'un contre l'autre.
Puis ils s'embrassèrent à nouveau, mais cette fois-ci, les mains de Jeanne devinrent un peu plus hardies. Elle descendit sa main droite sur la hanche de Charles, puis le bascula en arrière sur le canapé. A genou devant lui, elle entreprit de défaire un à un les boutons de sa chemise. Charles était mal à l'aise d'un coup, car qu'allait-elle penser en découvrant la couche dépassant du pantalon ? Chaque bouton de la chemise étant ôté, elle écarta celle-ci de chaque côté, et laissa apparaître le haut plastifié de la Tena.
-
Toujours aussi mignon, dit-elle.
-
Penaud, il s'entendit répondre bêtement un ''merci'' de circonstance.
-
Avant d'aller plus loin, reprit-il, je ne suis plus vraiment au sec, si tu vois ce que je veux dire...
-
Bébé a besoin d'être changé ! s'esclaffa-t-elle. Pas de problème, je crois que cela va m'amuser en fait, dit-elle d'un ton sûr d'elle.
Elle ôta le bouton de son jean, fit descendre la fermeture éclair, et tira sur le pantalon pour lui enlever. Il se sentait bête de se retrouver juste en couche, devant celle qu'il courtisait. Après avoir enlevé son shorty en coton blanc, Jeanne, avec une justesse et une précision digne d'une professionnelle, détacha les quatre adhésifs un à un, ouvrit la couche humide, et demanda :
-
Tu as quelque chose pour te changer ?
-
Oui, dans mon sac à dos, il y a des lingettes et des couches de rechange, mais tu n'es pas obligé de m'en remettre une maintenant, tu sais.
-
Mais qui te dit que je vais te remettre une couche ? dit-elle mystérieuse.
Elle sortit du sac à dos les lingettes avec lesquelles elle entreprit un nettoyage en règle des parties intimes de Charles. Elle était empreinte de douceur dans ses gestes. Charles, en pleine érection, profitait à la fois des sensations et du spectacle, la tête reposée sur l'accoudoir du canapé. Puis Jeanne sortit la couche du sac, elle la déplia, la jaugea, l'inspecta, regarda de plus prêt à quoi elle ressemblait, puis caressa avec le bout du plastique blanc le visage de Charles et susurra à son oreille :
- Celle-là, c'est pour plus tard...
Elle la reposa au sol, puis enleva la couche mouillée qu'elle roula en boule et jeta par terre. Il se redressa alors, déboutonna le chemisier de Jeanne, puis lui enleva son pantalon. Une jolie culotte Brésilienne en satin rouge ornait ses hanches et son sexe, assortie à un soutien-gorge pigeonnant. Elle vint se coller à lui, elle l'embrassa fougueusement. Elle se frottait contre lui, caressant tout la surface de son corps. Charles, après avoir enlevé d'une main habile son soutien-gorge et s'être attardé sur ses seins, caressa longuement son sexe. Il jouait avec les élastiques froncés de l'étoffe légère, puis fit glisser sa petite culotte au bas de ses jambes. Ils se rapprochèrent encore, puis encore, et l'instant d'après, ne firent qu'un. Elle se redressa à califourchon sur lui, et entama une longue série de va-et-vient, empalé sur son sexe. Une ardeur torride, caractérisait chaque mouvement de ses hanches, et Charles semblait quitter le monde réel.
Il la renversa sur le dos, puis lui fit l'amour avec douceur mais fermeté. Elle s'abandonna dans ses bras, la respiration haletante, entrecoupée de coups de reins, lorsqu'elle se crispa, et dans un dernier râle, explosa de plaisir, dans une longue et puissante jouissance, de concert avec Charles. L'instant suivant, le calme retomba dans le salon, et seuls étaient audibles les clips vidéos sur l'écran plat.
Enlacés l'un contre l'autre, ils restèrent immobiles, vidés, flottant en pleine sérénité, touchant du doigt cette plénitude que seul l'amour permet d'atteindre. Après quelques instants, reprenant leurs esprits, Charles cru deviner un frisson naissant sur le bras de Jeanne. Il lui enfila alors sa culotte, puis on chemisier, assortis de nombreux câlins sur son corps. Elle se redressa à son tour, l'étendit délicatement sur le canapé, et saisit la couche propre restée au sol. Elle lui glissa sous les fesses, rabattit le devant sur son sexe dans un bruit de plastique froissé, et disposa les adhésifs. - Tu m'as merveilleusement fait l'amour Charles, dit-elle, dis-moi que tu restes cette nuit avec moi ?
-
Je ne peux t'abandonner comme cela, alors oui, je reste avec toi cette nuit, Répondit-il - Je prends de plus en plus de plaisir à te langer, rajouta-t-elle d'un air malicieux.
-
Tu es vraiment exceptionnelle Jeanne, dit-il, et sentant que le moment était propice, il renchérit : Je suis sûr que si je te proposais de mettre une couche, tu ne refuserais pas !
-
A ces mots, Jeanne rougit, et lâcha un timide oui.
-
Heureusement que je ne sors jamais sans ma réserve, ajouta-t-il.
Il plongea la main dans son sac à dos resté par terre, et ressortit la dernière Tena maxi qu'il avait amené. A son tour, il disposa la couche sous les fesses de Jeanne, rabattit la Tena sur le devant, et mit en place les attaches. Jeanne se redressa, à la fois confuse et satisfaite, comme dans un état second. La couche entre ses jambes lui rappelait d'un coup ses 16 années passées langées la nuit, lorsqu'elle ne pouvait dormir sans risquer une inondation. Elle déambula dans le salon, attentive au bruissement du plastique blanc, puis se regarda dans la glace posée sur le mur à l'entrée. Elle s'admira, et aima le reflet que lui renvoyait le miroir.
La couche lui allait à ravir, lui faisant un petit derrière rebondi, bien que presque trop grande, car une taille S aurait suffit. Elle revint vers Charles, resté sur le canapé, lui pris la main, l'invitant à se lever, et l'entraina vers la chambre. Ils s'affalèrent sur le lit, enlacés, leur main posée sur la couche de l'autre. Ils s'endormirent rapidement, épuisés mais heureux, ignorant que le lendemain, une journée bien particulière les attendait.
Chapitre 3
Quand Charles ouvrit un oeil, le soleil de ce samedi du début du mois de juillet perçait déjà à travers les lames de volet de la chambre de Jeanne. Il avait dormi comme un bébé, en sécurité dans sa couche, allongé contre sa petite Jeanne, enveloppé elle aussi dans sa Tena maxi.
Il la regardait, la contemplait, la dévorait des yeux. A son tour elle ouvrit l'oeil, et lui sourit. Ils se blottirent l'un contre l'autre et firent un long câlin. Le crissement du plastique des couches sous la couette était audible, et provoqua immédiatement une excitation réciproque. Ils se caressèrent avec fougue et passion. Tous leurs sens étaient en éveil et ne demandaient qu'à s'exprimer. Charles risqua une main dans la couche de sa belle, et descendit vers son sexe. Docile, Jeanne se laissa dompter, et écarta légèrement les cuisses pour lui laisser la place. De sa main gauche, elle en fit autant, se glissa dans la couche de Charles, et le masturba.
- Et bien mon bébé, la couche me semble bien humide ! Dit-elle.
Si la lumière avait été plus forte dans la chambre, Jeanne aurait vu les joues de Charles rougir de honte et de plaisir mélangé, car sur le matin, il s'était laissé aller, et avait vidé le contenu de sa vessie dans sa couche. Après quelques instants de caresses mutuelles, il fit sauter la couche de Jeanne, arracha la sienne, et l'honora de façon virile, mais toujours en douceur. Ils gagnèrent tous deux l'orgasme dans le même instant, et s'affalèrent dans le lit, conquis par le plaisir. Ils restèrent l'un contre l'autre quelques temps, puis Jeanne décida de se lever, ramassa la couche de Charles au sol et lui remis.
- Comme ça tu restes mon bébé encore pour ce matin, dit-elle en prenant la direction de la salle de bains.
De son coté, il se mit en tête d'aller préparer le petit-déjeuner. Il enfila sa chemise afin de se couvrir les épaules. Il déambula dans le couloir en couche, passa devant la salle de bains, entendant Jeanne sous la douche, puis continu jusque dans la cuisine. Lorsqu'il passa la porte de celle-ci, quelle ne fut pas sa surprise de tomber nez à nez avec elle.
- Mais comment as-tu fait pour arriver aussi vite dans la cuisine ?! Il y a un passage secret ou quoi ?! S'exclama-t-il en inspectant les murs autour de lui.
Pendant qu'il tournait en rond dans la cuisine, il la regardait du coin de l'oeil. Elle semblait différente. Elle avait eu le temps de changer la mise en place de ses cheveux, elle était habillée d'un jean près du corps, et d'un bustier vert d'eau, juchée sur des talons hauts. Elle le dévisageait comme si ils ne s'étaient jamais rencontrés. Elle l'inspectait de haut en bas, avec un certain amusement, et une pointe de malice dans son sourire.
- Trop sexy le mec ! dit-elle. - Pas mal non plus la fille, répondit-t-il.
Il s'approcha d'elle, et l'enlaça, pressant sa couche mouillée contre son jean.
- Par contre, poursuivit-elle, pour la couche, j'ai connu plus viril !
Charles resta interdit. Il ne comprenait plus. Il y avait-il deux Jeanne ? Une du soir et une du matin ? Docteur Jekyll et Mister Hyde en quelque sorte. Il ne la reconnaissait plus. Elle semblait plus distante, mais avec un côté plus agressif et plus vulgaire.
-
Je te trouve bizarre ce matin, s'étonna-t-il.
-
Toujours moins bizarre qu'un beau mec en couche, non ? rétorqua-t-elle.
Charles ne savait plus sur quel pied danser, il était gêné et mal à l'aise. Le conte de fée s'écroulait, et il ne comprenait pas pourquoi. Il restait planté au beau milieu de la cuisine, sans savoir ce qu'il devait faire. Quand tout à coup, il perçut des pas dans le couloir, qui se rapprochait de la cuisine rapidement alors que Jeanne lui faisait toujours face. La panique le saisit à l'idée de se retrouver en couche face à un inconnu. Il resta figé, attendant son supplice. Il ne fallut que quelques instants pour voir apparaitre dans l'encadrement de la porte l'inconnu en question. Vêtue d'un long peignoir blanc, les cheveux tirés en arrière, le visage fermé, Jeanne faisait face à Charles et à...une seconde Jeanne.
- Alexia ! cria-t-elle, tu es vraiment incorrigible ! Je t'ai déjà dit de prévenir quand tu passes ici.
Une soeur jumelle ! Charles s'était retrouvé en couche face à la soeur jumelle de Jeanne dans la cuisine ! D'un coup il comprit pourquoi elle lui semblait à la fois si proche et si différente de "la" Jeanne qu'il connaissait. Confus et terriblement décontenancé, il proposa timidement d'aller se laver, et s'éclipsa dans la foulée, sous les yeux amoureux de Jeanne et ceux moqueurs de sa soeur Alexia. Il s'ensuivit un règlement de compte entre les deux jumelles, où Jeanne fit la morale vertement à sa soeur, en lui intimant l'ordre pour la dernière fois de ne plus rentrer dans son appartement sans sonner à la porte. Pour conclure, elle lui demanda ses clefs, afin d'être sûr de ne plus avoir à le répéter. Alexia s'exécuta d'un haussement d'épaule et ajouta :
-
Dis-donc frangine, quand tu ramasses un aussi beau mec que ça, tu pourrais peut-être partager avec ta soeur, non ? Dit-elle d'un ton provocateur.
-
Jeanne explosa : - N'y songes même pas un instant, et je t'interdis d'y toucher, c'est vu ?!
-
Allez, je plaisantais répondit Alexia, elle marqua un temps, puis repris : - Mais il a un beau cul et une belle gueule quand même malgré sa couche !! Puis elle ricana.
-
T'es vraiment nulle des fois - dit Jeanne dépitée.
Charles se glissa sous la douche, puis se sécha, s'habilla et rejoint les deux filles dans la cuisine. Elles étaient assises autour de la table, buvant leur café. Une ambiance lourde planait dans la pièce.
-
Tu aurais pu me dire qui tu étais tout de suite avant de te faire passer pour Jeanne, dit-il à Alexia - Oh, il n'y a pas de mal à s'amuser un peu. Allez, on fait la paix, et sans rancune ?
-
Ok, n'en parlons plus.
Elle se leva, et l'embrassa sur la joue, mais ne put s'empêcher de lui tapoter les fesses en constatant l'absence de couche :
-
Tiens, ça y est, bébé est propre ?
-
Très drôle ! répondit-il - T'as pas bientôt fini ?! Gronda Jeanne.
-
Allez va, je vous laisse les amoureux, j'étais juste venu prendre un café. Je reviens déjeuner avec vous ce midi, enfin, si ma chère soeur m'y autorise, - lança-t-elle ironiquement.
-
Petite peste, va, répondit Jeanne. Mais je t'aime quand même, ajouta-t-elle en riant.
Alexia les quitta, et Jeanne et Charles qui se faisaient face autour de la table se regardèrent en silence dans les yeux, en se souriant.
-
Et bien, quel réveil ! Ta soeur m'a fichu une sacrée frousse ! Par contre, il faut que je passe chez moi pour mettre des vêtements propres, dit-il - Je t'accompagne ? Demanda-t-elle.
-
Avec plaisir. On part dans 10 mn ?
-
C'est bon pour moi.
Quinze minutes plus tard, ils roulaient en direction de la maison de Charles. C'était encore une belle journée de juillet qui s'annonçait. Ils arrivèrent devant le grand portail noir en fer forgé de la maison. Il fit pression sur la télécommande, et celui-ci s'ouvrit. Le 4x4 pénétra dans la cour et vint se garer devant l'entrée. C'était une belle grange en colombages du 18ème, transformée en habitation. Ils entrèrent dans la maison et Jeanne découvrit avec surprise et intérêt l'environnement de celui à qui elle avait donné son intimité quelques heures auparavant.
- C'est vraiment très beau chez toi, s'exclama-t-elle - Merci. J'aime bien les vielles maisons, elles ont tant de charme et ont toujours quelque chose à raconter.
On rentrait par une grande pièce, ouverte sur une cuisine résolument moderne au fond de laquelle trônait une cheminée monumentale. Le plafond était fait de poutres en chêne patinées par le temps, et le sol en pierre comblanchien donnait un air moyenâgeux à l'ensemble. Ils continuèrent la visite, où chaque pièce était aménagée avec goût mais sobrement. Ils finirent dans la chambre du maitre des lieux.
-
Je suis contente de découvrir ta chambre.
-
J'espère qu'elle te convient.
-
Oui, c'est très joli. Mais tous tes vêtements tiennent dans cette petite commode, demanda-t-elle incrédule en désignant le seul meuble de la pièce ?
-
Non - dit-il : le dressing est dans la pièce suivante. Cette commode ne me sert que pour ranger mes couches ! - La réserve secrète de bébé alors ? dit-elle intriguée.
Elle se rapprocha et posa la main sur la poignée.
-
Je peux ? dit-elle d'un air interrogateur.
-
Naturellement répondit-il
Elle ouvrit la première porte de la commode en bois vieilli, et découvrit le jardin secret de Charles. Les couches étaient parfaitement rangées et alignées. Une tablette séparait le haut du bas, sur laquelle étaient rangées les Tena maxi. En-dessous, une pile d'abri maxi jouxtaient des cuddlz d'un blanc éclatant. Dans le tiroir à droite de la porte, était rangée une culotte plastique ouvrante à pression et des couches droites. Dans le compartiment du dessous, se trouvaient des Attends super plus et regular.
-
Et bien dis-donc, tu en as une sacrée réserve ! Et plein de marques différentes ! Je trouve que les plus belles sont les toutes blanches, dit-elle en désignant les Cuddlz.
-
Et bien ce sont les prochaines que je te mettrai sur ton charmant petit derrière, répondit-il. - Allez, je vais m'habiller en propre, et puis si tu veux, je te prépare à déjeuner ajouta-t-il.
-
Avec grand plaisir, mais il faut que je prévienne ma soeur que nous ne serons pas à l'appartement ce midi.
-
Et bien invites-la à déjeuner ici si tu veux. - Ok, je vais lui demander.
Jeanne se saisit de son Iphone, et composa le numéro d'Alexia. Celle-ci répondit, et accepta l'invitation en proposant d'amener le dessert, puis elle raccrocha après avoir pris l'adresse.
-
Bon et bien je me change et je me mets à la cuisine - dit-il en se dirigeant vers le dressing.
-
Pas si vite bébé ! Tu vas d'abord passer par la case couche ! Viens donc par-là !
Elle le poussa v i o l ement sur le lit, où elle se mit à le déshabiller tout entier. Il sentait encore le gel douche du matin. Elle se tourna vers la commode et saisit une Abri maxi, lui glissa sous les fesses, et la referma. Puis elle passa dans le dressing en s'interrogeant à haute voix sur ce qu'elle allait choisir pour habiller bébé. Elle revint quelques instants plus tard, avec dans les mains une chemisette en lin bleu marine, et un jean brut. Elle lui enfila d'abord un shorty bleu, eut un peu de mal à faire passer le jean sur la couche, puis boutonna le tout.
Quand il se redressa, satisfait de son sort, il empoigna Jeanne, et la bascula à son tour sur le lit.
- Chacun son tour ! Dit-il.
Il lui descendit sa jupe en coton, et découvrit alors une jolie lingerie en satin et dentelle noire qu'il lui ôta aussitôt. Il choisit dans la commode une Cuddlz, en lui expliquant que puisqu'elle les trouvait à son goût, elle allait pouvoir en apprécier leur qualité toute la journée. Elle riait, tout en se laissant faire. Après lui avoir attaché les deux côtés de la couche, il lui renfila sa culotte puis sa jupe. Elle se releva, et l'enlaça, heureuse. Ils descendirent jusqu'à la cuisine, et commencèrent à préparer le déjeuner. Il était midi. Jeanne se chargea de la table, et Charles sortit une poêle et un faitout du casserolier.
-
Steak et purée, cela te convient ?
-
Impec' ! répondit-elle - Bien, en attendant que les pommes de terre cuisent, je te propose un Ricard par cette chaleur.
-
Avec plaisir, dit-elle
Il sortit deux grands verres droits, versa l'alcool, des glaçons, puis de l'eau. Ils trinquèrent à leur rencontre, et commencèrent à boire. Interrogeant Jeanne à propos de sa s?ur, celle-ci expliqua que comme toute jumelle, leur relation était fusionnelle, et qu'elle ne pouvait se passer l'une de l'autre. Pour autant, elles n'avaient pas tout à fait le même caractère, et Alexia était plus expansive qu'elle, avec ce petit côté racoleur parfois. Elle avait d'ailleurs depuis toujours pris la fâcheuse habitude de lui voler ses petits copains. C'est pour cela que ce matin elle était monté au créneau immédiatement, car elle ne se laisserait pas voler ''son'' Charles.
Comme il s'étonnait qu'elle ne soit pas plus surprise lorsqu'elle l'avait vu en couche dans la cuisine, elle lui rappela que pendant 16 ans, Jeanne avait passé ses nuits langées et en tant que bonne jumelle qui se respecte, Alexia avait eu le même problème mais avait été propre la nuit un an plus tôt. Voilà donc qui expliquait le peu d'étonnement de la jumelle quant aux couches de Charles. Ils continuaient la conversation lorsque l'interphone crépita.
-
Sans doute ta soeur - dit-il.
-
Il se rendit vers le vidéophone, et reconnaissant Alexia lui ouvrit.
Celle-ci pénétra dans la maison, accompagnant son entrée par un long sifflement :
-
Et ben dis-donc, plutôt rupin la bicoque !
-
Ravi qu'elle te plaise dit-il, puis il enchaina :
-
Tu bois quelque chose ?
-
La même chose que vous !
Il servit un troisième Ricard et lui tendit. Elle le remercia et trinqua avec eux, en regardant Charles d'un air intéressé.
-
Arrêtes ça immédiatement ! Dit Jeanne.
-
Alexia baissa les yeux, à peine gênée, et but une gorgée de son apéritif.
Elle reprit la parole et proposa d'aller faire du shopping dans l'après-midi, expliquant que les soldes ayant commencé une semaine plus tôt, il y aurait certainement des affaires à réaliser. Tous deux acquiescèrent, quand Alexia, attiré par le derrière rebondi de ses deux hôtes demanda :
-
Dis-donc vous deux, vous êtes encore en couche ?!
-
Ils répondirent en coeur par un oui enthousiaste. - Et bien et moi alors ? Je n'ai pas le droit de participer ? Moi aussi je veux ma couche ! Lança Alexia provocatrice.
Jeanne soupira :
-
Tu es vraiment pénible espèce de jalouse ! Allez, monte là-haut que je t'en mette une ! Avec la permission de Charles bien sûr. Rajouta-t-elle.
-
Pas de problème, montez dans la chambre vous deux, je reste là pour m'occuper du repas.
Elles enfilèrent l'escalier qui menait à l'étage, puis arrivées dans la chambre de Charles, Jeanne dit à sa soeur de se déshabiller. Celle-ci s'exécuta, et mis son jean et son string au sol. Jeanne se tourna vers la commode, ouvrit la porte, et se saisit d'une Cuddlz. Puis se ravisant, elle la reposa, et choisit une Abri maxi. Ce sera ma petite vengeance personnelle se dit-elle, avec ce gros paquet aux fesses, ça va la calmer un peu.
Elle l'aida à enfiler son jean, qui eut du mal à glisser sure ses hanches à cause de l'épaisseur de la couche. Enfin elle le boutonna, et rajusta son bustier. Du coup, elle avait un derrière très rebondi, et le jean taille-basse, accompagné du bustier court découvrait le haut de la couche plastifié.
-
Ca se voit beaucoup ? demanda Alexia inquiète.
-
Non, tu rigoles, on ne voit quasiment rien ! Mentit Jeanne.
Elles redescendirent dans la cuisine, et n'eurent plus qu'à s'installer à table, où Charles avait servi les assiettes. Il s'installa à son tour, et se souhaitèrent bon appétit mutuellement. Charles n'avait pas manqué le fessier rebondi d'Alexia, et croisa Jeanne du regard, complice.
-
Alors Alexia, on se sent mieux avec sa couche ?
-
Disons que comme ça, je fais partie du même clan que vous !
-
Bon, et bien on déjeune tranquillement, et puis je vous emmène aux magasins ensuite.
-
Parfait, répondirent-elle.
-
Mais au fait, pourquoi portes-tu des couches dans la journée ? demanda Alexia à Charles.
-
Pour le plaisir ! Dit-il simplement sans détour.
Alexia ne semblait pas surprise plus que ça :
-
C'est vrai que je n'avais pas porté de couches depuis des années, et ça me rappelle d'excellents souvenirs en fait, dit-elle en regardant sa soeur complice.
-
Je ne trouve rien de plus sexy qu'une jolie femme en couche, lança Charles en regardant les deux filles tour à tour.
-
Un jolie petit cul comme le tiens avec sa couche n'est pas mal non plus, rétorqua Jeanne.
Ils rirent de concert, puis finirent leur repas. Après le café, ils grillèrent une cigarette, puis se préparèrent à partir.
- Je vais peut-être prévoir des changes ? Interrogea Charles - Oui, c'est une bonne idée, dit Jeanne.
Il reprit son sac à dos, monta dans sa chambre, et le chargea avec des Tena et des lingettes. Il ramassa le string d'Alexia laissé au sol, et redescendit.
-
Tiens, je crois que tu as oublié quelque chose dans ma chambre, dit-il en lui tendant son string.
-
Alexia pouffa, et rangea son string dans son sac à main.
Ils montèrent dans le 4x4, et prirent la direction des magasins de vêtements. Ils roulèrent en silence pendant 10mn, puis se garèrent sur le parking des magasins d'usine. Descendus de la voiture, ils s'engouffrèrent dans la première boutique de prêt à porter. Charles s'intéressa aux jeans, pendant que les filles regardaient les jupes. Charles ayant retenu 3 pantalons différents, il se dirigea vers les cabines d'essayage après en avoir averti les deux belles qui commençaient à mettre en pièce le rayon.
Il entra dans la cabine, posa ses 3 jeans sur le siège, puis ôta le sien. Il enfila le premier, puis sorti pour se regarder dans la glace. La coupe et la couleur lui plaisaient, Et un sifflet de compliment accompagna son sentiment. C'était Jeanne, arrivée derrière qui le convainc de l'acheter en accompagnant son retour en cabine avec une claque sur les fesses. Souriant, il rentra à nouveau dans celle-ci, enleva son pantalon, puis décida d'essayer le second. Au même moment, Alexia qui stationnait devant le rideau tiré de la cabine de Charles, les bras chargés de jupes et pantalons interpella la vendeuse, qui semblait s'ennuyer avec le peu de clients présents à cette heure de la journée.
- S'il vous plait mademoiselle, pourriez-vous nous donner votre avis ?
La vendeuse, la trentaine, plutôt élancée et moderne, s'approcha nonchalamment vers Alexia :
-
Que puis-je faire pour vous ?
-
J'aurais besoin de votre avis sur la taille adéquate du jean de Monsieur, dit Alexia en ouvrant d'un coup sec le rideau de la cabine de Charles.
Celui-ci, juste en couche, laissant apparaitre une auréole sur le devant, n'avait pas encore enfilé le pantalon suivant. Il se mit à rougir sans savoir ou se mettre, alors que la vendeuse, les yeux écarquillées, rivés sur son entre-jambe, semblait très gênée. Charles se tenait en plein milieu de la cabine, droit comme la justice, le pantalon dans ses mains, et restait figé.
- Oh pardon Charles, dit Alexia faussement, je pensais que tu avais déjà enfilé le nouveau jean, rajouta-t-elle le sourire en coin.
Jeanne fustigea du regard sa soeur, et tira le rideau :
-
Tu feras attention Alexia, dit-elle agressive, ta couche dépasse nettement de ton pantalon, tout le monde la voit, aboya Jeanne en toisant sa soeur du regard. Celle-ci piqua un far, et croisa le regard de la vendeuse incrédule. Puis se ressaisissant, elle s'adressa à Jeanne.
-
Parce-que tu crois que la tienne ne se voit pas peut-être ? Et tout en disant cela, elle releva de la main droite la jupe de Jeanne, en montrant bien la Cuddlz à tout le magasin. La vendeuse n'en croyait pas ses yeux :
-
Mais c'est un bizutage, c'est cela ? Demanda-t-elle.
-
Non, pas du tout, entendit-on du fond de la cabine ! On aime juste porter des couches, ça ne se voit pas ? S'exclama ironiquement Charles.
Les filles pouffèrent de rire, alors que la vendeuse ne savait plus à quel saint se vouer.
-
Vous êtes sûr que vous avez besoin de mon avis ?
-
Si vous vous y connaissez en couches, certainement ! Répondit hilare Charles derrière son rideau. Est-ce que vous changez aussi vos clients ? rajouta-t-il.
La vendeuse, furieuse, tourna les talons et partit au fond du magasin. Une atmosphère de délires mutuels entre les trois comparses s'était installée, et c'est à celui qui en ferait le plus. Alexia demanda à la cantonade :
-
Tu crois que mes grosses couches rentreraient dans ce petit jean ? Désignant un jean taille 36 ultra taille-basse.
-
Si je t'aide à l'enfiler, certainement répondit Jeanne à haute voix, mais sinon tu fais comme moi, tu mets des jupes, et tu peux mettre toutes les couches que tu veux !
Les quelques rares clients présents regardaient la fine équipe médusée et choquée, ce qui avait pour effet de les inciter à en faire des tonnes.
-
J'ai besoin d'être changé ! Cria Charles de sa cabine.
-
J'arrive chéri, répondit Jeanne en s'engouffrant derrière le rideau bleu.
-
Et moi je ne vais pas tarder à mouiller la mienne, surenchérit Alexia !
Riant de bon coeur, le petit groupe passa à la caisse pour régler ses achats, devant une vendeuse pincée, et outrée.
Ils passèrent le reste de l'après-midi à faire du shopping dans les différentes boutiques, lorsque c'est Alexia qui appela au secours la première.
- Je crois que ma couche va déborder ! Dit-elle à Jeanne. Le Ricard et l'eau de ce midi m'ont rempli la vessie, et je n'ai pas pu me retenir ! Cela fait déjà trois fois que je fais des gros pipis !
Jeanne et Charles la regardaient, amusés, mais ne pipaient mot.
- Et bien ne restez pas comme ça ! Dit Alexia, proposez-moi une solution, il faut que je me change de toute urgence !
Sa couche était très gonflée sous son jean, et on distinguait nettement la présence de l'Abri form Xplus, sans même regarder le plastique du haut de la couche qui dépassait du pantalon. C'est Charles qui ouvrit la bouche le premier.
-
A part dans la voiture, je ne vois pas bien où on peut te changer, dit-il.
-
Alexia acquiesça, résignée.
Ils se dirigèrent alors vers le 4x4, et s'engouffrèrent à l'intérieur. Charles rabattit la banquette arrière, ce qui faisait un fond totalement plat, et Alexia s'y allongea. Jeanne lui défit son jean et entreprit de lui défaire sa couche. Charles lui passait les lingettes au fur et à mesure que Jeanne nettoyait sa s?ur. Puis Charles disposa une couche propre sous ses fesses, rabattit le devant sur son pubis, pendant que Jeanne fixa les adhésifs. Tout à coup, Alexia laissa échapper un cri de surprise. Elle venait de se rendre compte que quelqu'un observait la scène par la custode arrière et n'avait rien perdu du spectacle. C'était un homme d'une trentaine d'année, brun, plutôt avenant, et qui se délectait du change d'Alexia.
Charles se redressa et ouvrit la porte prestement en demandant avec agressivité :
- Tu veux de l'aide ?
Le pervers tourna les talons et pris la fuite à pas rapide. Charles referma la porte et verrouilla les serrures. Lorsqu'il se retourna, Alexia, toujours allongée, avec les jambes écartées et repliées, et se masturbait, la main dans sa couche.
- Ça m'a trop excité de me faire mater pendant que vous me changiez ! Gémissait-elle.
Jeanne contemplait sa soeur, qui prenait du plaisir, et saisit la couche de Charles des deux côtés et commençait à le caresser. Il fit de même en saisissant la Cuddlz de Jeanne, et lui pétrit le sexe et les fesses. Déshabillés, ils se mélangèrent les uns aux autres, et se caressèrent mutuellement, leurs corps allongés sur la moquette épaisse du coffre. Quelques instants plus tard, les adhésifs des couches étaient arrachés, et Alexia vint s'empaler sur la queue de Charles alors que Jeanne, lui faisant face, agenouillée derrière la tête de celui-ci, massait les seins de sa s?ur, tout en embrassant goulument les lèvres de son homme. Elle se redressa un instant et s'adressa face à Alexia :
- Je te le prête très exceptionnellement aujourd'hui, mais il est à moi, vu ?!
Alexia acquiesça dans un râle de plaisir, et lui laissa la place. A son tour, elle se fit prendre par Charles qui se délectait de la situation. Alexia resta accroupie à les contempler et se masturba avidement pour venir une seconde fois.
Jeanne avait accéléré le rythme sur le corps de Charles, en faisant onduler son bassin de plus en plus vite. Ses mains se crispèrent sur ses hanches, ses cuisses se resserrèrent, son regard sembla chercher un instant un élément libérateur, quand d'un coup, sa respiration, haletante et rapide, fit place à un cri déchirant l'air, à l'instant même où Charles explosa de plaisir lui aussi. Ils se regardèrent comblés et complices.
Ayant laissé passer un moment afin de reprendre leurs esprits, ils se rhabillèrent, non sans avoir remis leur couche avant. Si celle d'Alexia était propre et sèche, ce n'était pas le cas de celles des amants terribles, qui avaient sérieusement besoin d'un change propre. Jeanne disposa amoureusement une couche sur le derrière de Charles et celui-ci en fit autant pour sa petite protégée, puis ils enfilèrent leur vêtement, redressèrent la banquette, démarrèrent le 4x4 et prirent la direction de la maison.
L'ambiance dans la voiture était résolument calme, chacun était sur son petit nuage, partagé entre bonheur et plénitude.
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